Originaire de la région nantaise, Daniel Barthelet gère depuis plusieurs années l’Adonis Aix-en-Provence. Avec un leitmotiv : l’esprit d’équipe.
« J’ai toujours dirigé mes entreprises comme une équipe de sport. Si les résultats collectifs sont bons, on réussit tous ensemble. Si on se gamelle, on se gamelle tous ensemble. Sans mon équipe, je ne vaux rien, je ne peux rien faire ». Tels sont les mots de Daniel Barthelet, le gérant de l’Adonis Aix-en-Provence au moment d’évoquer son style de management.
Celui qui a fait ses gammes à Nantes ne cache pas son goût pour le sport et le travail d’équipe. C’est donc avec enthousiasme qu’il a accueilli la perspective de collaborer avec le Tournoi Maurice Revello.
« Quand le Tournoi m’a a questionné sur cette possibilité, j’ai tout de suite dit oui. La première année, nous avions accueilli Cuba en 2017 puis les recruteurs, une confrérie où règne un très bon état d’esprit. Ensuite, nous avons eu le Mexique en 2018 avec qui ça s’est très bien passé. Au vu de leur niveau, les joueurs pouvaient avoir le ‘melon’ mais pas du tout ! Ils ont mis une bonne ambiance et ont été vraiment charmants, j’ai d’ailleurs loué leur comportement sur les réseaux sociaux », raconte le responsable de l’Adonis.
A en croire ce dernier, les tiens tissés pendant la période du Tournoi Maurice Revello ne restent pas sans lendemain. « Certains recruteurs sont revenus dans notre établissement à titre personnel quelques mois plus tard », confie-t-il.
Avec ses salles de séminaire, sa centaine de chambres, son restaurant ainsi que la piscine, il faut dire que l’Adonis propose une prestation complète, propice au bien-être du client. « Il y a d’ailleurs des gens qui vivent à l’année chez nous », précise Daniel. « J’ai toujours aimé dans mon métier cet esprit d’accueil. Je veux que le client se sente comme chez lui ».
Arrivé à la tête de l’établissement depuis 2015, Daniel semble épanoui. Le tout dans une région qu’il semble affectionner. « Il faut être compliqué pour ne pas aimer ! », s’exclame-t-il dans un sourire.