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8 June 2011
Faustino Asprilla, la légende colombienne
Pour les jeunes colombiens présents lors de cette 39ème édition du Festival International Espoirs de Toulon et du Var il est important d'avoir des modèles. Faustino Asprilla est celui-ci. Une référence même. L'homme qui a réussi à l'étranger. Du côté de Parme surtout mais aussi à Newcastle. Mieux que Valderama. Mieux que Freddy Rinçon ou Valencia. Les autres stars de l'époque. Celles de la génération dorée du début des années 1990 qui avait explosé l'Argentine à Buenos Aires en éliminatoires de la Coupe du Monde 1994 (5-0). Un match mythique qui avait fait naître les espoirs les plus fous. Finalement déçus aux Etats Unis.
Qu'importe l'essentiel est d'avoir fait vibrer toute une nation. C'est ce message que « Tino » tente de faire passer aujourd'hui. «Cette équipe présente à Toulon est celle qui sera amenée à défendre les couleurs du pays lors de la prochaine coupe du Monde au Brésil. Il y a un potentiel certains et des éléments prometteurs comme Rodriguez Rubio qui brille au FC Porto. Ce tournoi va leur permettre d'acquérir de l'expérience ».
Un style incomparable
Et Dieu sait qu'Asprilla en a à revendre. Lui qui aux côtés de Zola et Stoichkov a enflammé plus souvent qu'à son tour le stade Ennio Tardini de Parme. Ses dribbles chaloupés, son coup de rein fantastique et cet aspect « anguille » avaient fait de lui le joueur le plus attractif de la Série A. « En Italie le football est très tactique alors qu'en Angleterre il est plus facile pour un attaquant rapide de tirer son épingle du jeu car les espaces sont plus nombreux. Ce sont deux types de football très différents mais qui m'ont beaucoup apporté » poursuit-il. Une rareté à une époque où le football colombien commençait à émerger. Valderrama à Montpellier avait montrer la voie. Asprilla l'a empruntée avec brio. Traçant un sillon pour les autres. Les Perea (Atletico Madrid), Cordoba (Inter Milan), Yepes (Milan AC), Guarin (FC Porto) sans oublier les « Français » Ospina (OGC Nice) ou Montano (Rennes) entre autres. Tous ses expatriés qui font le bonheur de leur club respectif ont été influencé de prés ou de loin par Faustino Asprilla. Un mythe. Une légende.
An D. Qu'importe l'essentiel est d'avoir fait vibrer toute une nation. C'est ce message que « Tino » tente de faire passer aujourd'hui. «Cette équipe présente à Toulon est celle qui sera amenée à défendre les couleurs du pays lors de la prochaine coupe du Monde au Brésil. Il y a un potentiel certains et des éléments prometteurs comme Rodriguez Rubio qui brille au FC Porto. Ce tournoi va leur permettre d'acquérir de l'expérience ».
Un style incomparable
Et Dieu sait qu'Asprilla en a à revendre. Lui qui aux côtés de Zola et Stoichkov a enflammé plus souvent qu'à son tour le stade Ennio Tardini de Parme. Ses dribbles chaloupés, son coup de rein fantastique et cet aspect « anguille » avaient fait de lui le joueur le plus attractif de la Série A. « En Italie le football est très tactique alors qu'en Angleterre il est plus facile pour un attaquant rapide de tirer son épingle du jeu car les espaces sont plus nombreux. Ce sont deux types de football très différents mais qui m'ont beaucoup apporté » poursuit-il. Une rareté à une époque où le football colombien commençait à émerger. Valderrama à Montpellier avait montrer la voie. Asprilla l'a empruntée avec brio. Traçant un sillon pour les autres. Les Perea (Atletico Madrid), Cordoba (Inter Milan), Yepes (Milan AC), Guarin (FC Porto) sans oublier les « Français » Ospina (OGC Nice) ou Montano (Rennes) entre autres. Tous ses expatriés qui font le bonheur de leur club respectif ont été influencé de prés ou de loin par Faustino Asprilla. Un mythe. Une légende.
