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19 March 2013
Gameiro – Van Der Wiel : Un banc gagnant !
Le PSG s’est qualifié dernièrement pour les ? de finales de la grande Ligue des champions en éliminant le FC Valence (2-1, 1-1). Les hommesd’
Ancelotti
avaient fait le plus dur à l’aller en l’emportant à Mestalla (2-1) mais ont terriblement souffert au retour. Les coéquipiers d’un excellent
Matuidi
n’ont jamais su comment « prendre » ce match. Soit préserver le large avantage, soit jouer naturellement en attaquant. Après une première période fermée à double tour voire insipide, tout s’accélère à la reprise. Le Brésilien
Jonas
ouvre le score pour les Espagnols d’un maître tir (55e). Le Parc des Princes tremble.
Ancelotti
fait alors rentrer
Kevin Gameiro
(58e) et change sonsystème de jeu avec le retour en 4-4-2. C’est le déclic. L’ex-Lorientais apporte sa vitesse et sa fougue.
Lavezzi
n’est plus isolé en pointe. Les effets sont immédiats car quelques minutes plus tard,
Gameiro
récupère un ballon à 40 mètres des buts adverses, accélère,percute et après deux contres favorables permet à
Lavezzi
d’égaliser(1-1).
Les routes se croisent au Festival en 2007
Une magnifique récompense pour un joueur pétri de talent mais « barré» par la star
Ibrahimovic
.
Gameiro
n’a jamais lâché et a attendu son heure. C’était contre Valence grâce à la suspension d’Ibra. Pas unesurprise pour ceux qui l’avait vu œuvrer en 2007 lors du Festival International Espoirs. En effet, le Parisien avait réalisé un exploit rarissime. Celui de cumuler les honneurs. Elu à la foismeilleur joueur et buteur du tournoi, Gameiro avait éclaboussé la compétition de toute sa classe menant l’équipe de France au titre. Encette occasion il avait croisé la route de son actuel coéquipier le Hollandais
Van Der Wiel
. Signe du destin, le latéral néerlandaislui-aussi remplaçant a vite du suppléer
Jallet
(25e) contre Valence. Comme
Gameiro
, il a effectué une bonne rentrée. Irréprochable défensivement, il doit désormais mieux maîtriser ses centres en phase offensive. Qu’importe l’essentiel pour le PSG était de rester solide et de se qualifier. C’est fait avec un banc déterminant. Qui aurait pu penser en 2007 au « Festival » que les deux hommes se retrouveraient six ans plus tard sous le maillot du PSG avec la perspective de disputer un ? de finale de LDC ?
An D
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