Découvrezles stars de demain

3 juin 2019

REPORTAGE - A la rencontre de Samir Chammam (sélectionneur du Bahreïn) et Mohamed Marhoon (attaquant)

Avant l'entrée en lice du Bahreïn dans la 47^e édition du Tournoi Maurice Revello, nous avons assisté à l’entraînement de la sélection asiatique à Fos-sur-mer et rencontré l’entraîneur tunisien Samir Chammam. Le sélectionneur a évoqué les ambitions de son équipe, accompagné de son numéro 8, Mohamed Marhoon.
Samir Chammam, quel est votre sentiment avant de participer au Tournoi Maurice Revello ?
Nous sommes contents d’être ici. Nous avons déjà participé au Tournoi en 2017. C’est un tournoi international reconnu et nous avons vu que ça a été bénéfique pour les joueurs et pour la Fédération. C’est pour ça qu’on a choisi d’y participer.
Quel est l’objectif de cette participation pour le Bahreïn ?
L’objectif est de placer la barre plus haut. Nous nous sommes qualifiés pour la phase finale des Jeux Olympiques en mars dernier. Donc nous avons besoin de plus de rythme et d’engranger de l’expérience avant cette compétition estivale.
Est-ce qu’il y a un joueur en particulier sur lequel vous allez vous appuyer ?
Nous avons des joueurs avec un bon futur, perfectibles, mais le plus important reste quand même le collectif. Cette équipe est composée de jeunes joueurs, des U21 et des U23. Avec ces joueurs, nous préparons le futur de l’équipe nationale senior, nous misons donc sur le collectif.
Quelle est l’équipe que vous craignez le plus dans le Tournoi ?
Je pense que c’est la France. Je suis francophone, j’ai passé le BES deuxième degré à Clairefontaine. J’ai une idée sur le niveau des techniciens, sur la qualité du travail et de la valeur de l’Équipe de France.

Mohamed Marhoon (attaquant du Bahreïn) sur la participation et les ambitions du Bahreïn :
« Je suis content de prendre part à ce tournoi majeur contre des équipes d’un grand niveau, c’est important pour nous afin d'évaluer notre niveau. Je suis arrivé à la mi-saison en Europe (Bohemians, CZE), et je compte bien faire profiter de ma récente expérience à l'ensemble de l'équipe. Cela me fait du bien de retrouver les miens qui me manquent au quotidien quand je suis à Prague. »
Propos recueillis par Arnaud Delayre et Paul Schmitt

Avant l'entrée en lice du Bahreïn dans la 47^e édition du Tournoi Maurice Revello, nous avons assisté à l’entraînement de la sélection asiatique à Fos-sur-mer et rencontré l’entraîneur tunisien Samir Chammam. Le sélectionneur a évoqué les ambitions de son équipe, accompagné de son numéro 8, Mohamed Marhoon.
Samir Chammam, quel est votre sentiment avant de participer au Tournoi Maurice Revello ?
Nous sommes contents d’être ici. Nous avons déjà participé au Tournoi en 2017. C’est un tournoi international reconnu et nous avons vu que ça a été bénéfique pour les joueurs et pour la Fédération. C’est pour ça qu’on a choisi d’y participer.
Quel est l’objectif de cette participation pour le Bahreïn ?
L’objectif est de placer la barre plus haut. Nous nous sommes qualifiés pour la phase finale des Jeux Olympiques en mars dernier. Donc nous avons besoin de plus de rythme et d’engranger de l’expérience avant cette compétition estivale.
Est-ce qu’il y a un joueur en particulier sur lequel vous allez vous appuyer ?
Nous avons des joueurs avec un bon futur, perfectibles, mais le plus important reste quand même le collectif. Cette équipe est composée de jeunes joueurs, des U21 et des U23. Avec ces joueurs, nous préparons le futur de l’équipe nationale senior, nous misons donc sur le collectif.
Quelle est l’équipe que vous craignez le plus dans le Tournoi ?
Je pense que c’est la France. Je suis francophone, j’ai passé le BES deuxième degré à Clairefontaine. J’ai une idée sur le niveau des techniciens, sur la qualité du travail et de la valeur de l’Équipe de France.

Mohamed Marhoon (attaquant du Bahreïn) sur la participation et les ambitions du Bahreïn :
« Je suis content de prendre part à ce tournoi majeur contre des équipes d’un grand niveau, c’est important pour nous afin d'évaluer notre niveau. Je suis arrivé à la mi-saison en Europe (Bohemians, CZE), et je compte bien faire profiter de ma récente expérience à l'ensemble de l'équipe. Cela me fait du bien de retrouver les miens qui me manquent au quotidien quand je suis à Prague. »
Propos recueillis par Arnaud Delayre et Paul Schmitt

Interview précédente Retour à la liste des interviews Interview suivante