25 May 2016
Les matchs de la 4e journée du groupe A en statistiques

Interceptions : Milen Gamakov (11)
Le capitaine bulgare a maintenu son équipe dans le match par son incessante activité, en témoignent ses 11 interceptions. Le milieu de terrain a également gagné 9 ballons. Efficace dans la récupération, il a été tout aussi à l'aise dans l'utilisation de la balle. Avec 36 passes réussies et 69 ballons touchés durant la partie, il détient là aussi les deux meilleurs totaux de son équipe. Assurément l'homme fort de la formation d'Antoni Zdravkov.
Ballons touchés : Arturo Gonzalez (85)
Le milieu de terrain mexicain n'en finit plus d'épater. Avec 85 ballons touchés durant la partie, il a de nouveau été le joueur le plus influent de son équipe. Toujours aussi juste, il a affiché un total de 45 passes réussies ainsi que 100% de dribbles réussis, meilleur total côté mexicain. Outre son importance balle au pied, le joueur de l'Atlas Guadalajara a également été capital dans la récupération, interceptant 10 ballons. Malgré son excellent Tournoi, Gonzalez n'aura toutefois pas pu qualifier son équipe, mais il fera reparler de lui à coup sûr.
Ballons perdus : Olivier Kemen (23)
S'il n'a pas toujours été juste, en témoignent ses 23 ballons perdus, Olivier Kemen n'a pas ménagé ses efforts côté français, touchant 74 ballons. Illustration de cette activité parfois brouillonne, ses 37 passes réussies et 8 longs ballons réussis, contre 17 passes ratées. Le capitaine des Bleuets a toutefois créé 2 occasions grâce à 3 bons décalages. Mais il a aussi manqué de justesse dans ses dribbles, en réussissant 3 et en en manquant 3 autres.
Ballons récupérés : Diadié Samassekou (11)
Le petit milieu de terrain malien a une nouvelle fois été très actif. Avec 11 ballons récupérés et 4 tacles réussis, il a joué un rôle capital dans la capacité du Mali a contrecarrer les plans français. Dépositaire du jeu des Aigles, le joueur du Red Bull Salzbourg a également réussi 36 passes et touché 62 ballons. Il a couronné sa belle prestation par une passe décisive sur le but malien. Une des révélations de cette édition 2016.
Mathieu Lauricella